Il vaudrait mieux de mettre à part ces pensées sûr Paris, la neige et le dernier Décembre. Un Décembre bourré de travaux, essais, portfolios, mais aussi de fêtes, d'envies, de chaleur humain. C'est justement là ou peut-être quelques semaines avant quand j'ai senti que j'étais vraiment instalé à Paris et que je m'y sentais parfaitement à l'aise. Je me suis dit, par contre, que le froid parisien et la bibli de Sciences Po devrait disparaître en Janvier, en me convainquant qu'à Barcelone et à Palma je serais, d'abord, mieux et, en plus, sous le soleil. Erreur. Janvier a été, comme tous les mois qui l'ont succédé, assez chaud. En fait, on dirait qu'on n'a pas eu un vrai hiver, sinon que l'hiver n'a été qu'en automne et qu'après le Nouvel An on n'a eu qu'une très facile pente descendante vers le printemps.
Aucun ne va pas ignorer la peur que ce Décembre-là m'a générée, peur au froid franco-français et aux pieds gelés. Toutefois, je fais semblant qu'on a bien aimé Décembre, la bibli et, en plus, Paris, mon appart, quand j'ai été tout seul un mois entier, tandis que ce que j'ai vraiment aimé a été Janvier avec Sainte-Geneviève, Panthéon, des jours ensoleillés, etc.
Il vaudrait mieux que j'écrive la continuation du portfolio parisien, mais, d'abord, comme d'hab, il faut finir un essai.